Aprèsles diverses animations de la journée, une retraite aux flambeaux précédera, à 23 heures, le tirage d'un feu d'artifice à 22 h 30. A 23
Lécole face au plus grand défi du 21ème siècle : CAP AU NORD 2020. Faire de 18 enfants les ambassadeurs et les témoins d'une grande aventure humaine et scientifique regroupant plusieurs dizaines d'écoles et plusieurs centaines de classes pendant l'année scolaire 2019-2020 : telle est l'ambition du projet CapauNord2020.
un colibri = un petite joie - une cigogne = une naissance en général, si l'oiseau se pose dans la maison tranquillement c'est que le changement est intentionnel et concerne le fruit d'un travail. bonne journée-----Les équations à résoudre dans le destin sont : les évènements à vivre, la souffrance à comprendre, la connaissance à acquérir l'important est, cependant, de
Unjour, dit la légende, un incendie commence à ravager la jungle. Affolés hommes et bêtes fuient en tous sens. Seul un petit colibri, sans relâche, fait l’aller et retour de la rivière au brasier, une minuscule goutte d’eau dans son bec, pour la déposer sur le feu.
Leconcours de chant de téléréalité très populaire The Voice sur NBC a reçu plusieurs Emmy awards et a reçu plus de 50 nominations, à ce jour. Beat Shazam sur Fox reste un tirage de programmation estivale populaire pour le réseau. Live PD sur une &E est l’une des séries les plus populaires du réseau et a donné naissance à plusieurs spin-offs, notamment Live
Vousavez laissé un peu de votre âme sur chacune des pages du roman et vous souhaitez le voir naître sur format papier tel votre bébé. Après des jours, semaines, mois ou même années, vous êtes au bon endroit pour faire enfin imprimer votre roman. Format sur mesure ? Contactez nous.
LeMaire, Christian Beton intervenait alors sur les principes de liberté, d’égalité et de fraternité qui fondent notre république : « Une république laïque, qui respecte toutes les croyances, qui assure la liberté de conscience et garantit la liberté des cultes.
Cest grâce aux plumes de sa queue que le colibri émet sa sérénade. Le chant de cour de l'oiseau-mouche est en effet produit par le passage du vent entre ses plumes. Une
Papilloncolibri ou Moro-sphinx. Septembre 2013, Montargis. Ce papillon colibri m’a vraiment nargué : après de nombreuses visites éclair à butiner des « verveine fleur », j’ai enfin réussi à le photographier le 6 septembre 2013 lors d’un passage un peu plus long sur ces fleurs.
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asVB3. 3- Je suis Guimel L’Étincelle Divine de la vibration puissante de la couleur orangée, de tout ce qui porte la vie et le mouvement spontané du don de la Grâce et de la Beauté. Donc tout ce qui se vit dans l’émerveillement de chaque jour et dans la joie de l’offrir aux autres tel un Messager, un Guide, un Maître. Si Guimel s’est présenté à vous aujourd’hui, c’est pour vous aider dans vos manifestations surtout celle de vous exprimer. Guimel offre sa lumière tout comme elle demande un don de votre part. Que pouvez-vous lui offrir sinon que l’amour qui vibre en votre Coeur dans un geste de générosité absolue. Même si votre Coeur est rempli d’amertume et de regrets. Sachez que Guimel vous accueillera dans son Coeur d’Amour Pur afin de vous libérer des blessures du passé ou des souffrances douloureuses.
Tulip’s Bar est une nouvelle écrite par Louis Delluc, tout d’abord parue dans le magazine satirique Fantasio du 1er juillet 1919, puis sous le titre de La Tulipe dans le recueil de nouvelles L’Homme des bars, publié en décembre 1923 aux Editions de la Pensée française. La nouvelle devient le scénario de La Boue premier titre attribué à Fièvre, publié dans Drames de cinéma dans cette écriture extrêmement concise qui caractérise les drames cinégraphiques écrits par Delluc. Le lecteur verra suffisamment le déroulement des scènes et leur équilibre, explique-t-il. C’est son imagination, aidée de son intelligence, qui lui évoquera les images à la distance voulue dans la proportion voulue, selon le mouvement voulu. Et le réalisateur, de même, emploiera presque automatiquement les procédés de son métier comme l’écrivain met sa pensée sous forme de mots sans recourir à un dictionnaire. Et même l’apprenti, ignorant de tous trucs professionnels, les apprendra machinalement en obéissant à sa raison[1]».Produit par Alhambra-Film, société de production fondée par Delluc, La Boue est tourné en huit jours seulement, en février 1921, dans les studios Gaumont des Buttes-Chaumont. Le décor du cabaret populaire marseillais est construit en quatre jours. Les quelques plans du port de Marseille, contrepoint à l’univers clos du cabaret, sont tournés en extérieur dans le incarner les nombreux et indispensables rôles secondaires qui viennent cimenter l’interprétation des vedettes comme Edmond Van Daële, Gaston Modot, Ève Francis et Elena Sagrary, Delluc fait appel à des acteurs amateurs, dont quelques amis. Ils donnent véritablement corps au lieu et à l’action grâce à une brillante méthode qui consiste à les plonger et à les maintenir dans le climat du film, et en leur attribuant une personnalité propre et marquée. Ainsi l’ancien clown Footitt interprète l’homme au chapeau gris, gentleman des demoiselles ou paladin de l’aventure en eau trouble[2]», de Malte est un ivrogne définitivement rivé à sa table, Léon Moussinac le matelot César et sa femme Jeanne la galante Flora. Delluc rapporte ainsi ses sentiments sur le plateau La vie du Bar-bar commence. Ève Francis silhouette sa robe photogénique sur la toile de Bécan où dorment les bateaux du Vieux-Port. Elle attend quoi? Que les bateaux aient des pattes, que la rose d’argent érigée sur le comptoir fleure l’héliotrope ou que Modot ressemble à Joubé? On verra bien. Ce Modot est épatant. Et voilà bien son seul défaut. Dès qu’il entre dans un rôle, tout y est, et l’on s’apprête à ne rien lui dire tant il est peu acteur, mais homme. Ses godillots de faux luxe, sa chemise à carreaux, sa coiffure savante, sa gueule précise et bien musclée, quelle allure! Et quelque chose en plus, à l’intérieur le sens du cinéma.[3]» Dans une ambiance glacée en raison des températures hivernales, la ferveur des protagonistes augmente à mesure que se déroule l’intrigue. Car Delluc tourne les scènes en continuité, dans l’ordre de l’écriture du scénario exceptée la scène du mariage de Militis, située dans le passé, respectant ainsi l’unité de temps et de lieu et exaltant la montée progressive de la tension et de la violence. Professionnels ou amateurs tous sont entraînés dans un mouvement qui les anime et les humanise. Est-ce la brutalité de leurs personnages? Est-ce l’atmosphère amusante du drame? Est-ce la rapidité, est-ce l’intensité que nous apportons tous à la réalisation de ce drame de huit jours qui demandait normalement trois ou quatre semaines? Je ne le sais pas encore. Je ne le saurai jamais. La fièvre court. Le bal se démène. L’alcool enveloppe les dix ou quinze petites tragédies qui composent cet essai d’ensemble tragique. Après seulement, nous comprendrons que c’était folie d’entreprendre ce film. Il est raisonnablement impossible d’indiquer le détail de chaque minute à trente individus qui doivent rester au même plan, c'est-à -dire demeurer aussi importants les uns que les autres aux yeux du spectateur. Mais il est arrivé que trente jeunes gens ont compris et ont senti la qualité de collaboration qu’on leur demandait. Intelligents, prudents mais passionnés, désintéressés, artistes, spontanés, électrisés par leur propre sincérité, ils composent avec soin et avec simplicité une espèce d’enthousiasme symphonique dont leur Kappelmeister d’un jour garde une impression de joie inoubliable.[4]»L’interprétation est sobre et splendide, le rythme haletant. Delluc dresse un tableau qui prend vie instantanément, avec une intensité telle que le réalisme qui en émane est saisissant. Chaque personnage se débat avec sa solitude, dans une ambiance close, trouble et dépravée, teintée des airs d’Hindoustan tout droit sortis du piano mécanique. À la nostalgie, l’ennui et le rêve, Delluc mêle l’envie, le fantasme, les mystères et la magie du voyage. La tension progresse et devient vite venimeuse avant que l’ivresse et la folie renversent la réalité de manière abrupte et sordidement banale. La Boue est présenté en avril 1921 à la Commission Supérieure d’examen des Films Cinématographiques du ministère de l’Instruction publique et des Beaux-Arts et suscite de vives oppositions de la part des représentants du ministère de l’Intérieur. D’une manière générale, le fait que l’action se déroule dans un bouge» dérange. Ils exigent non seulement la coupe de certaines scènes estimées trop subversives des scènes de violence, le sein dévoilé de Vintiane mais également le changement du titre, jugé trop provocant. C’est donc censuré de quelques scènes que le film est finalement accepté par la censure en mai 1921, sous le titre de Fièvre. Sa première représentation a lieu le 8 juin et sa sortie en salle le 24 septembre 1921.Ah! Certes, Louis Delluc est un grand criminel ironise Pierre Scize[5] dans un article publié dans Bonsoir. Il a supposé dans son cynisme que l’on pouvait observer autour de soi le monde, les hommes, les femmes, le cirque des passions, le jeu des désirs, le conflit des races et beaucoup d’autres choses innommables dont on ne peut s’occuper que si l’on est vraiment perdu de vices et de crimes.» Ève Francis déclare Fièvre est une fresque brutale, une tranche de vie grouillante, dramatique, osée, directe, dépouillée. Un comprimé de sensations âpres excessives et émouvantes. Le film eut un effet ahurissant sur la faune cinégraphique d’alors et il porta ses fruits». Le film séduit le public et la critique est dithyrambique. Dans Le Crapouillot, Léon Moussinac affirme que Delluc est dans la vérité cinégraphique. L’anecdote n’intervient que pour servir en quelque sorte d’armature au tableau, l’animer et en porter ainsi au maximum l’intensité expressive. L’image se suffit absolument à elle-même, le texte n’intervient que dans la mesure strictement indispensable. Demain, Delluc l’éliminera complètement de ses réalisations visuelles. Tout l’intérêt se concentre, de la sorte, dans la répartition des valeurs. Peu d’œuvres cinégraphiques sont aussi caractéristiques et plus riches d’indications.» Paul de la Borie écrit dans La Liberté Derrière chaque geste, chaque regard, chaque nuance de pensée ou d’action des héros du film, il y a l’intelligence de l’auteur qui poursuit son but et vise à l’effet médité. Et c’est pourquoi, sans nul doute, jamais nous n’avons vu un drame cinégraphique s’élever à cette intensité d’expression. Mis en scène avec une telle recherche d’art – d’art cérébral plus encore que d’art plastique – interprété par des artistes comme Ève Francis, Elena Sagrary, Van Daële, Modot, qui sont dotés de la flamme intérieure, ce film – cinématographiquement parlant – est admirable. Il est, en tout cas, inoubliable.»Samantha Leroy[1] Louis Delluc, prologue de Drames de cinéma, Ed. du Monde Nouveau, Paris, 1923, p. V.[2] Louis Delluc, Huit jours de Fièvre, Cinéa n° 20, 23 septembre 1921[3] Louis Delluc, idem.[4] Louis Delluc, idem.[5] Sa femme Noémie interprète le rôle de la Rafigue.
PROMENADES CHEZ BERANGER Il y a quelques années quand j'étais encore libraire à Nice, j'avais acquis dans un lot, deux petit ouvrages de Béranger. N'en trouvant pas la collation dans Vicaire, j'avais consulté la bibliographie spécialisée faite par Jules Brivois en 1876 et j'ai alors découvert avec un ravissement de néophyte, la complexité des éditions de notre poête national. Du coup, au fil des trouvailles, j'ai ramassé ça et là , petit à petit, les In-32°, les contrefaçons Belges, et toutes les éditions rencontrées entre l'originale de 1816 et les dernières faites par Perrotin ou Garnier dans les années 1875-1880. Cette "manie Bérangère "occupe maintenant plus de trois mètres de rayons qui contiennent quelques ouvrages non cités ou peu décrits par Brivois. Nous allons en détailler quelques uns. *Chansons Nouvelles par De Béranger suivies d'un supplément composé des chansons de Jouy, Magalon, Gillé, Bast, Julien, Pradel, Navarrot et Lagarde, extraite du petit recueil récemment publié, intitulé la Marotte de Ste-Pélagie ou Momus en Prison. Bruxelles chez de Mat et H. Remy, Imprimeurs-Libraires, MDCCCXXV. Un Volume In-18°146x92 de 175 pp. broché, couverture papier beige, au recto et au centre, vignette d'un Pégasse ailé, au verso, une urne. Culs de lampe gravés sur bois. Indépendamment de la préface de l'auteur, il y figure de la à la les 53 chansons nouvelles publiées la même année à Paris chez les marchands de nouveautés. Une édition non expurgé, aucun vers supprimé, ni dans Le Malade, ni dans le Chant du Cosaque, pas plus que dans le Vieux Sergent. Jolie petite contrefaçon Belge non citée par Brivois. *Chansons par Béranger. Bruxelles, Auguste Wahlen et Compagnie, 1822. Deux volumes In-18°140x86 de vi- 216 pp + 11 pp, 216 pp. avec en frontispice au tome I un très curieux portrait de Béranger légendé ainsi " je ne vis que pour faire des chansons, si vous m'ôtez ma place, Monseigneur, je ferais des chansons pour vivre", reliés plein veau, guirlande dorée encadrant les plats, dos lisses, pc. de titre et de tomaison en maroquin rouge et vert, guillochis sur les coupes. L'ouvrage commence par une notice sur la vie de Béranger, texte extrait de la nouvelle biographie des contemporains, continu par la préface de l'édition de 1821 comprenant le dialogue entre "Mon censeur et moi" puis de la à la quatre vingt neuf chansons répertoriées à la table à puis six chansons Les Moeurs, Sermon d'un Carme, L'Accouchement, Le Misanthrope, Le Tour de Ronde, Mistigris sur 11pp. paginées 1 à 11. Au Tome II, on dénombre 73 Chansons et un "Appendix" de 16 Chansons, supplément qui comprend 4/5 des chansons de 1816 supprimées dans l'édition de 1821 ce qui nous donne un grand total de 89+6+73+12 = 180 chansons !!!. Essayons de débroussailler cet embrouillamini. Nous avons 82 Chansons provenant de l'édition originale de 1816 et également 82 Chansons Nouvelles provenant de l'édition de 1821 soit 164 Chansons authentifiées sur 180. Dans l "Appendix" du tome II, il y a 10 chansons qui ne sont pas de Béranger voire De la Patience, Lamentations de ces Demoiselles, Cadet Buffet politique, Les Vétérans, Souvenirs d'un Militaire, Les J'ai vu, Le Royaume d'Ultrasie, Vive la Charte, Les Projets d'un Bon Vieux Seigneur, Petit Vaudeville. Nous voilà 164 + 10 à 174. Les six chansons manquantes pour arriver à notre total de 180 sont celles que nous avons en addenda au tome I après la L'une d'entre elles, Le Misanthrope ne semble pas être de Béranger. je ne retrouve ce titre dans aucune édition. Par contre les cinq autres étaient considérés par Brivois et par tous les bibliographes comme parues originalement dans le supplément de 1829, édité chez Tarlier à Bruxelles ou dans l'édition Tarlier/Jules Boquet en Quatre volumes avec 40 gravures parue au même moment Cf. François Godfroid. Aspects inconnus et méconnus de la contrefaçon en Belgique,1998 Que Nenni !!! Comme nous venons de l'exposer, L'EDITION ORIGINALE de ces cinq oeuvres est donc parue dans cette édition de 1822, chez à Bruxelles soit 7 ans avant. Edition Rare citée en bas de page par Brivois qui n'a pas vu l'essentiel. *Chansons par De Béranger, augmentées du recueil publié en 1815 par le même auteur et d'un supplément de chansons qui ne se trouvent pas dans les éditions de Paris. Bruxelles, de la Société Typographique, 1826. Deux Volumes In-24° carré 100x90 de xxiv-287 pp., 324 pp. En frontispice du tome I même portrait de Béranger que dans l'édition Wahlen de 1822 décrite ci-dessus. Il apparait d'ailleurs que Wahlen et la Société Typographique étaient une affaire commune d'édition. reliés plein veau, guirlande dorée encadrant les plats, dos lisse ornée de petits fers, titre au centre des plats. L'ouvrage commence par une notice sur les poésies de Béranger par On compte 120 chansons au tome I et 124 chansons au tome II ce qui nous donne le chiffre fantasmagorique de 244 chansons. En collationnant, on s'aperçoit que 85 d'entres elles proviennent de l' de 1816, 81 de l'édition de 1821 et 53 des Chansons originales de 1825 soit un premier total de 219 Chansons. Pour compléter à l"Appendix" du tome II on a 11 chansons qui ne sont pas de Béranger les dix de l'édition Wahlen de 1822 auquelles s'ajoute l'Officier en Retraite et par ailleurs toujours au tome II, Neuf titres qui ne sont pas de Béranger La Destitution, Le Misanthrope, Chant Funèbre, Le Soleil d'Austerlitz, Le Sabre, Le Cordon Sanitaire, Les Moutons, Le Retour d'un Grenadier d'Espagne, Le Provincial à Paris. Nous voici rendu à un deuxième sous total de 239 chansons. Pour aboutir à 244 on retrouve à la table du tome II Sermon d'un Carme, L'Accouchement, La Tour de Ronde et Mistigri, quatre de nos originaux parus en 1822 chez Wahlen et enfin la dernière "Nouvel ordre du jour" qui figure dans cette édition de 1826 d'une façon pour le moins inconnue puisque Brivois qui est tout de même la référence en matière de bibliographie de Béranger ne cite sa première apparition originale que dans le supplément grand In-18 de 1829 !!! Charmante édition bien Rare, jamais citée. * Nouveau Recueil contenant tous les airs des Chansons de Béranger dont les plus jolies sont avec accompagnement de Piano ou Guitare par les meilleurs compositeurs tels que Romagnesi, Panserou, de Beauplan, Bruguière, Doche...Dédié au Poete National de Béranger. A Paris, chez Savaresse, éditeur de Musique, Palais-Royal N°96. Un Volume In-12°de 148 pp. + 8 pp. de supplément. En frontispice, un portrait gravé de Béranger en buste par A. Lefebvre. 297 chansons, la plupart avec la musique notée. Les 219 premières sont toutes issues des éditions de 1816, 1821 & 1825. Elle se termine au "Voyage Imaginaire". Ensuite du N° 220 au N° 259 inclus des chansons publiées initialement dans les éditions 1828-1833. On finit avec "le Tombeau de Manuel". Puis du N°260 au N° 281 inclus, des airs divers qui n'ont rien à voir avec les chansons de Béranger. Dans le supplément du N°282 au N° 297, dernier air du recueil quinze chansons de Béranger Le Bonheur, Chant funéraire, Colibri, Les Contrebandiers, Couplet, les Feux Follets, Gotton, Jacques, Jeanne la Rousse, Le Juif Errant, Le Ménétrier de Meudon, Mes Jours Gras, Passez Jeunes Filles, Le Refus, Les Reliques, La Restauration de la Chanson. Cette énumération permet de dater cet ouvrage toutes ces chansons sont apparues dans l'édition dédiées à Lucien Bonaparte. Il est paru antérieurement un autre recueil d'airs avec la musique gravée en 1822, publié par Guichard-Printemps, professeur de piano à Paris que l'on trouvait également chez Hentz-Jouve, marchand de musique, Palais-Royal N°96. Brivois, En onze ans, la boutique de musique du N°96 du palais-Royal avait donc changer d'exploitant. Edition inconnue de tous les bibliographes. * Chansons de de Béranger. Bruxelles, Chez Jules Bocquet, Un Volume In-32° de xxviii-518 pp. Bruxelles, Imprimerie de P. J. Voglet. La page de titre orné d'une vignette en couleurs, Le Vieux Drapeau et trois autres lithographies couleurs hors texte La Bacchante, Les Missionaires et la Messe du Saint Esprit. Collation x- p. de notice sur Béranger signée Jules B.....t, la préface de Novembre 1815, dialogue avec le Censeur, du"Roi d'Yvetot" au "Voyage Imaginaire" un ensemble de 217 chansons des éditions précédentes, faux titre Chansons nouvelles à la soit neuf chansons toutes en édition originale. ce qu'ignore parfaitement Brivois. D'après lui, "Souvenirs du peuple & le Petit Homme Rouge"apparaissent seulement en 1828 Paris, Baudoin Frères, un Vol. in-18°, imp. de Fain; & tout comme "l'Echelle de Jacob & La Mort du Diable" parues également en 1828 Paris, Baudoin Frères, 2 Vol. in-8°, imp. de Rignoux et plus tard encore dans le supplément Tome IV, Tarlier de l'édition en quatre volumes de 1829 pour "La Messe du Saint-Esprit", "Le Mariage du Pape", "La Garde Nationale", "la Mort de Trestaillon"ou "Les Femmes"Tarlier, Bruxelles, Tome IIi, Cette édition Belge de Bocquet ne peut être traitée de contrefaçon Brivois, puisque à contrario elle contient des publications originales. A partir de la jusqu' à une vingtaine de chansons attribuées à Béranger. Vaste fourre-tout. On y trouve des oeuvres qui sont bien du poète comme "Mistigri, Le Chien de Saint Roch, Mandement des Vicaires Généraux" et la cohorte habituelle des douteuses. A partir de la des notes et des tables, celles ci contrairement à toutes les éditions précédentes classées en ordre alphabétique. On peut trouver cette édition imprimée à Bruxelles chez Laurent. C'était une première publication d'une série "Collection des Poètes Français. Cette publication a été partagé entre Laurent, Tarlier et Jules Boquet. Elle peut présentée le titre, non daté avec la seule indication de Jules Bocquet, comme notre exemplaire, ou le nom et l'adresse des autres associés Par contre le verso du faux titre porte toujours Bruxelles, Imprimerie de Laurent Frères. Notre mention Imp. de Voglet et d'une grande rareté. Un journal, la Sentinelle des Pays-Bas du 7 octobre 1827 fait l'éloge en ces termes de l'édition Jules Boquet "Le Béranger de est une charmante miniature; il est le seul complet qui existe; l'impression, due à Mrs Laurent, est très soignée, très correcte; mais n'en déplaise à M. Jules Boquet, il nous parait un peu cher....." *Vignettes en taille-douce, par nos meilleurs artistes, d'après les dessins de nos premiers peintres, pour les chansons de De Béranger. Paris, Perrotin, éditeur, Rue Neuve-des-Mathurins, N° 51, Chaussée d'Antin. 1829. Un volume in-12° carré contenant une première série de gravures soit 48 Planches. Portrait de Béranger gravé par Scheffer en frontispice, vignette sur le titre, couverture conservée papier de couleur, orné d'un bois gravé de Cousin. Reliure demi veau, dos lisse. Cet ouvrage est cité par Brivois Il y a fort probablement deux livraisons distinctes. L'édition de 1829 a été mis en vente, avec une première série de gravures qui devait en avoir d'abord 40 puis 48 en six livraisons dont la première avait parue dès le mois de Juillet 1828. Notre recueil correspond t-il à cette première série ? Si cela est on pourrait dresser la liste du premier tirage, actuellement inconnue car je n'ai pas retrouvé le détail dans le Journal de la Librairie. *Oeuvres complètes de Béranger. Nouvelle édition. Bruxelles, Langlet et Compagnie, Libraires-Editeurs, Rue de la Madeleine N°87, 1838. Un Volume petit in-8°de 189 pp. texte sur deux colonnes. Une notice sur Béranger, l'inévitable préface de Novembre 1815, et une première partie comprenant 269 chansons, a la p. 151, faux titre Chansons nouvelles et dernières, le Texte à Lucien Bonaparte et sa préface. 56 chansons. Relié demi chagrin marron, dos à nerfs. Edition rare inconnue de Brivois. *Oeuvres complètes de de Béranger. Illustrations de Grandville. Bruxelles, Riga Imprimeur-Libraire. Liège, - Même Maison. 1844. Un volume in-8° de 497 pp. Brivois p. 61 cite une édition dans les termes suivants " Oeuvres.....Un vol in-8° de 497 pp. contenant 40 gravures sur bois et sur cuivre, copiées sur l'édition de Paris. cette contrefaçon contient en plus une notice sur Béranger, signée un homme de rien ". Notre exemplaire est différent. c'est bien un In-8° de 497 pp. avec la notice décrite sur Béranger mais il contient les 120 planches de Raffet et Grandville. Contrairement à toutes les éditions parisiennes de Fournier, les légendes des illustrations ne sont pas en lettres blanches ombrées mais en simple carectères type antique allongé maigre, il y a un bois gravé non signé en frontispice représentant Béranger debout, les mains dans les poches et la page de titre est orné d'un grand bois romantique à compartiments , oeuvre du graveur B. Fabronius, et propre à cette édition. Relié demi chagrin vert à coins, dos lisse avec de beaux fers romantiques. Edition inconnue. *Chansons de Béranger. Supplément. Paris, chez les marchands de Nouveautés. MDCCCLXVI. C'est le supplément érotique de 1834 réimprimé en Belgique, à quinze exemplaires sur Hollande, avec après le faux titre, une gravure pleine page de Un volume grand in8° de 159 pp., relié demi maroquin rouge, dos à nerfs, caissons ornés. Edition citée par Brivois. Seul intérêt sa rareté. Enfin pour finir cette chronique baladeuse, la photo d'une plaque en cuivre 24x10, trouvée ces jours derniers au déballage du petit matin à Carpentras et figurant sculpté en ronde-bosse notre poète debout, les mains dans les poches, légendée " Je n'ai flatté que l'infortune". 1840. Vous pouvez rectifier vos fiches bibliographiques sur Béranger et a bientôt pour une autre promenade. Bernard.